QUESNOT BERTRAND (14210)

La VMC-simple flux va se servir de l'air vicié situé en dehors de votre lieu de vie. Comment ? Au moyen d'une bouche d'extraction. L'air neuf pénètre également dans votre logis en se servant des entrées d'air. Celles-ci se situent sur une porte ou fenêtre. Les bouches se retrouvent dans les pièces qualifiées d’"humides" (toilettes, cuisine, salle de bain) et les entrées d’air dans les pièces sèches (chambre, salon, bureau). Si vous vivez dans une maisonnette, il est peut-être pertinent de choisir ce procédé au moment de l’installation d’une ventilation à cheux. En effet, il exige d'installer un circuit de gaines. Elles apparaissent connectées à une grande caisse qu'on place traditionnellement au grenier.

Avant toute chose, la VMC-double flux est constituée de 2 flux : "insufflation" et "extraction". Les flux restent raccordés par plusieurs gaines au caisson dans lequel se trouve un échangeur thermique. Avant de se voir évacué à l’extérieur du bâtiment, l’air "vicié" transmet la chaleur à l’air "neuf". Grâce à ce système, l’air transmis dans le foyer se positionne à une température semblable à celle de l’édifice. Une indication qui a son importance par rapport à l’installation d’une ventilation à cheux.

Vous serez dans ces dispositions susceptible d’effectuer des économies de chauffage appréciables pendant le cycle hivernal.

Vous le comprendrez facilement, avec une VMC double flux, il n’est pas vraiment utile d’avoir des grilles d’aération. En réalité, l’air propre va être intercepté par une entrée mécanique unique. Cela représente une option appropriée. Cependant, gardez à l’esprit que la réalisation reste forcément difficile partant de ce postulat : de multiples gaines sont imposées, sans omettre de mentionner l’intervention autour des cloisons à destination des sorties/entrées d'air.

Nous devons essentiellement garder une ventilation générale et constante dans son logement même lorsqu'on est absent. Si ce n'est pas le cas, l'air environnant sera contaminé et les moteurs utilisés dans les caissons de VMC ont de grandes chances de planter. Heureusement, les principes de récupération de la chaleur allègent encore leur dépense énergétique et la consommation électrique des VMC devient plus faible.

Bien qu'elles soient proches en surface, il y a une différence nette entre les VMC simple flux "hygroréglables" et auto-réglables. Les premières régulent le débit d'air selon le taux d'humidité. A contrario, les secondes proposent un débit permanent. La VMC "hygroréglable" est définitivement un mécanisme intelligent qui se met au diapason de l’occupation des logements et de l’utilité. À retenir pour l’installation d’une ventilation à cheux : cette solution permet d’optimiser son confort tout en limitant ses consommations énergétiques. Dans le milieu, on observe actuellement deux sortes de VMC "hygroréglables". La première est l'hygro-A. Dans ce cas spécifique, il n’y a que les bouches qui sont hygroréglables. VMC hygro B : les bouches et entrées d’air sont hygroréglables.

Absolument pas. L'air émis ne faisant face qu'à un léger changement thermique, celui-ci est complètement dépourvu d'odeur. Aucune distinction ne devrait être remarquée. Les matières composant le caisson des systèmes de ventilation sont dépourvus d'odeur singulière tandis que les filtres sont uniquement automatiques.

Il faut signaler que les extracteurs d'air doivent la plupart du temps être installés dans des zones humides (salles d’eau ou waters). C’est une alternative parfaite à la VMC. Ainsi, le mécanisme extrait un surplus d'humidité (ou d’odeurs désagréables) à l'intérieur d'une même pièce. L’extraction continue améliore de manière significative la qualité de l’air d’une zone ou de la totalité de la maison. Un détail qui peut vous concerner pour l’installation d’une ventilation à cheux : pour fonctionner, les extracteurs recourent à l'électricité.